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5 ERREURS IMPARDONNABLES…

Dernière mise à jour : 17 mars 2021

On a tous droit à l’erreur; les plus intelligents d’entre nous réussissent généralement à ne pas répéter les mêmes erreurs plus d’une ou deux fois…


#1 : Partir faire de la photo sans carte mémoire… Ça nous est tous arrivé. Il y a plusieurs façons de se prémunir contre cette erreur majeure. Évidemment, on peut toujours vérifier dans l’appareil avant de partir, mais c’est fou comme on a souvent tendance à croire qu’il y a toujours une carte dans l’appareil. On oublie facilement qu’on a transféré des images la veille et que la carte est peut-être encore dans l’ordinateur… Une bonne solution consiste à toujours avoir une carte supplémentaire (un « back up ») dans son sac. Celle-ci ne sera jamais utilisée, sauf en cas de nécessité; une fois revenu à la maison, on retrouve la carte qui aurait dû se trouver dans l’appareil et on replace le « back up » là où il peut toujours servir.


#2 : Manquer de pile. Un ami qui photographiait les oiseaux a déjà fait trois ou quatre heures de route pour se rendre dans un marais qu’il avait trouvé sur le Web dans le but d’y faire de la photo. Une fois sur place, il sortit son appareil muni d’un 500mm, le tout monté sur trépied, pour se lancer à la poursuite de son gibier. Une photo, deux photos… l’indicateur de pile se met à scintiller… Sa pile supplémentaire était restée à la maison, sur la charge… On remballe le tout et on retourne… J’espère que les deux images en valaient la peine!


Comme pour les cartes mémoires, on peut garder une pile supplémentaire dans son sac, mais il est important qu’elle soit chargée. Idéalement, les piles doivent également travailler sinon elles risquent de « sulfuriser » et perdre leur capacité de charge; on devrait donc alterner entre les deux ou trois piles dont on dispose pour que chacune d’entre elles passent du temps dans l’appareil et sur la charge. Une fois chargée toute pile devrait retrouver sa place dans le sac photo.


#3 : Vous connaissez l’expression « cordonnier mal chaussé »? On pourrait aussi parler de photographe mal habillé. Vous quittez le confort du foyer, possiblement dans la Grande Ville, pour partir à la chasse aux images au fin fond des bois. Même si la température est relativement clémente en ville, il peut faire plus froid en campagne. Avez-vous pensé à emmener une tuque, des gants, des bas assez chauds? Qu’en est-il des bottes? Un imperméable en cas de pluie? Rien n’est plus frustrant que de devoir rebrousser chemin parce qu’on a trop froid ou qu’on est détrempé. Dans le pire des cas, la situation pourrait dégénérer au point de devenir critique.


#4 : Partir sans le bon équipement. La loi de Murphy, vous connaissez? Personnellement, j’aimerais lui dire deux mots à ce Monsieur Murphy… Sans partir avec tout ce qui se trouve dans le studio, vaut mieux avoir une optique de trop qu’une longue focale en moins lorsque se présente l’opportunité de toute une vie. Par exemple : la 400mm est lourde et on pense ne faire que du paysage; c’est toujours à ce moment que le chevreuil 10 pointes va se pointer au détour du sentier…

Je considère également qu’il est essentiel d’avoir deux boitiers. Je me souviens entre autre d’un voyage au Costa Rica où un de mes boitiers s’est mis à déconner à plus d’une occasion; je pouvais alors me rabattre sur mon second boitier. Bien que plus vieux et moins performant, celui-ci me permettait de continuer à photographier le temps que le premier refroidisse et se remette à travailler.


#5 : Savez-vous où vous allez? Pire, savez-vous où vous êtes?... Rien n’est plus stressant que de se retrouver perdu en forêt. C’est une expérience que j’ai vécu étant enfant et je me suis juré de ne plus jamais répéter. Dans mon sac j’ai toujours une boussole, même lorsque j’ai un GPS. La pile d’un GPS peut lâcher alors que la boussole pointera toujours vers le nord, il suffit de savoir s’en servir. Soyez attentif à votre environnement. Si vous n’êtes pas familier avec la région visitée ayez également une bonne carte, si nécessaire protégée des intempéries dans un Ziplock.


LES PHOTOS

Pour faire des photos, il faut les éléments essentiels… Autrefois, il nous fallait suffisamment de film pour la sortie prévue. De nos jours, il faut une ou plusieurs cartes et assez d’énergie pour alimenter nos caméras énergivores.

Mon kit de survie fait toujours partie de mes sorties; il ne quitte jamais mon sac d’équipement. Le chasse-moustique peut même servir en hiver : très inflammable, il peut aider à allumer un feu. La boussole a même un double dans le couteau Suisse « Champ ». La couverture d’urgence est légère et ne prends pas de place. Dans le kit de Premiers Soins j’ajoute également des allumettes d’urgence et un briquet.

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